L’œuvre que je présente quand je m’étale sur mes coussins dans mon intimité est une odalisque et son encadrement vaut quasiment autant que la peinture, on nage dans les cinq à six millions. Quand j’adopte cette pose, j’aimerais me sentir comme une chatte qui s’étire près d’un feu de foyer l’hiver: I love l’infini. Mais je me sens ordinaire autant qu’un animal n’est que lui-même malgré l’image qu’il donne. Les anguilles de Kent sont-elles une exception? J’en doute. Même le sex symbole le plus hot de la planète connaît des heures creuses alors que ses admirateurs de partout capotent sur son face book et sur ses vidéo-clips.