Topic 7190408

DH//408 Re://T7190 [Syl20/Human/Jules/Xmtl/Tchin/Youssef/Vesuv/Villan/Alad/Chu - Inauguration] post. 18-09-19 17:47:33

 

© photo DH//Hélène Tremblay - Montage Digital

SYMBIOSE - INAUGURATION

 

408 Re://T7190 [Syl20/Human/Jules/Xmtl/Tchin/Youssef/Vesuv/Villan/Alad/Chu - Inauguration] post. 18-09-19 17:47:33

J’y allais par obligation. Résultat je me suis emmerdé. Je fais trop souvent les choses par obligation. La plupart du temps, quand j’ai peur de m’ennuyé à une réception officielle, j’en reviens content. Une fois j’ai marché comme à l’abattoir pour allé au lancement du livre d’une amie. J’ai acheté son livre. Après j’ai eu beaucoup de révélation sur les allés retours de mon inconscient. (C’était un livre sur l’interprétation des rêves). Quand je repense à ce lancement j’en garde un double souvenir: le sentiment d’obligation, négatif, et la joie d’avoir acheté un livre qui m’a fait évolué (positif). Mais à l’inauguration d’hier, je me suis emmerdé royalement. J’avais très hâte de rentrer chez moi, mais une fois rendu à la maison, j’étais encore fâché de m’être rendu dans un endroit où il a fallu que je m’emmerde à saluer des gens que je n’avais pas envie de voir, à écouter leurs conversations sans contenu.

408 Re://T7190 [Syl20/Human/Jules/Xmtl/Tchin/Youssef/Vesuv/Villan/Alad/Chu - Inauguration] post. 18-09-19 17:49:39

J’ose penser qu’une inauguration de quoi que ce soit est un élan uniquement cérébral, silence je m’explique: on ne sait pas par avance la texture et, façon de parler, la couleur, bref, l’ambiance, bref, l’aura, de ce que le lieu va devenir. Avoir le temps d’anticiper serait déjà faire un acte de stabilisation référentielle. Mais c’est la rentrée n’oublions pas. Rattrapage à l’extrême, le temps est laborieux à la récupération. Donc t’arrives: rien n’est coloré, ni d’avance ni de retard, plate réalité qui te frappe en pleine sensorialité mais sans références aucune comme je disais. J’emploierais la métaphore de l’impact contre un véhicule stationné sans autre réaction que: oh shit, mauvais(e) début (ou milieu ou fin) de journée. Mais sentiment versus la mécanique, la carrosserie, le véhicule d’autrui magané par inadvertance ou distraction: rien. Tu laisses ton No de cell après un des essuies-glaces, et tu repars au neutre sans avoir abîmé ta conscience d’une acte quelconque, et cette absence d’abîme devient l’abîme infernal en soi, le rien qui s’est engendré dans le tout, incluant l’inavouable: ce que je voulais faire, c'était enculer l'Autre. J’ai ink enculé son char.

408 Re://T7190 [Syl20/Human/Jules/Xmtl/Tchin/Youssef/Vesuv/Villan/Alad/Chu - Inauguration] post. 18-09-19 17:51:41

En me rendant (en taxi: 40 $) à cette inauguration (car je devais en faire un reportage qui a été annulé dans les faits à cause du débat des chefs en anglais), j’ai vu une ambulance jaune stationnée dans le terrain adjacent. Je me suis posé la question (à la blague) si on avait prévu des commotions et des malaises chez les gens invités. Comme on ne pouvait s’y rendre que sur invitation, un tueur aurait pu y faire un choix à l'avance. Pensée banale, sans plus, mais qui s’incruste. Or imaginez-vous que nous sommes au lendemain de cette inauguration: sans réel souvenir de cet événement pour lequel j’étais convoqué, je me pose encore cette même question. Question banale, stupide, sans réponse autre que banale et stupide. Eh bien cette question ne veut plus se déloger de ma tête. Elle  en a même délogé le souvenir des gens à qui j'aurais pu adresser la parole.

408 Re://T7190 [Syl20/Human/Jules/Xmtl/Tchin/Youssef/Vesuv/Villan/Alad/Chu - Inauguration] post. 18-09-19 17:53:38

Quel jour sommes nous à ce matin m’est-il souvenu de me demander au lit encore et sans café. Réponse: nulle. Comme sur un formulaire où c’est indiqué de passer à la question suivante. Alors, importance oblige de savoir quel jour on est aujourd’hui, avant même le dépouillement du corps. Meilleure chose à faire en pareil cas: se poser la question «Qu’est ce que j’ai fait hier, veille d’aujourd’hui?» Rien. À croire que je n’avais rien fait. Mais un être normal se souvient de n’avoir rien fait. Or différence entre la forme et le contenu. À l’évidence une chose avait été faite mais à la question aucune réponse ne venait, malgré le va-et-vient successif de mon hier à celui d’avant et du lendemain. Zéro. C’est Sylvain à qui j’ai téléphoné pour confirmer un r-v qui m’a rappelé qu’on s’était vus la veille, ah oui c’est vrai, mais c’est  à peine si on se soûl venait lui et moi d’une quelconque inauguration dans nos routes et nos vies.

408 Re://T7190 [Syl20/Human/Jules/Xmtl/Tchin/Youssef/Vesuv/Villan/Alad/Chu - Inauguration] post. 18-09-19 17:56:09

La 15 était encombrée, tant qu’on n’aurait su dire si c’était le matin ou le soir: l’encombrement était dans les deux sens. Mais à lire vos posts ce matin, je commence à regretter de ne pas être allé à cette inauguration car je suis sûr que j’ai raté une affaire unique au monde. Je ne peux pas me faire une idée d’un seul endroit qu’on inaugure sur la planète Terre à propos duquel on s’évade en tant d’oubli et tant de dissipation le lendemain. My God! Qu’avez vous fumé???

408 Re://T7190 [Syl20/Human/Jules/Xmtl/Tchin/Youssef/Vesuv/Villan/Alad/Chu - Inauguration] post. 18-09-19 17:59:17

Tout allait bien. Il y avait même un cadeau, le lave-vaisselle venait d’être livré, et installé malgré que je n’avais pas payé de surplus pour l’installation, sachant le faire par moi-même, mais ça n’aurait pas été avant la fin de semaine et on était mardi. Donc cœur vif et sentiments légers, pour revenir de cette inauguration avec la seule pensée obsédante qui dure encore en ce moment mercredi: qui aurait pu m’éviter ce désastre? Un marasme existentiel que rien, absolument rien, ne peut changer en neutralité. Même la présence de Jules et sur promesse de se faire une bataille navale avec les fistons fut incapable de changer cette inauguration pénible en sentiment positif, je ne parle même pas de joie. C’est comme si j’avais perdu toutes les batailles navales au sec pour le reste de mon avenir. Jules, faisons quelque chose pour changer le beat avant que cette inauguration devienne un fardeau d’avenir, avec nuages lourds même par journées sans buées.

408 Re://T7190 [Syl20/Human/Jules/Xmtl/Tchin/Youssef/Vesuv/Villan/Alad/Chu - Inauguration] post. 18-09-19 18:03:38

J’ai assisté à bien des inaugurations au cours de ma (déjà) longue vie, mais une avec aussi peu d’envergure je viens de battre mon propre record. Qui va revenir à ça? Mieux: je poserais la question en termes plus incisifs encore: qui, lorsqu’il sera de nouveau en présence de ce béton gris et ces murales sans adjectifs, va-t-il se dire: «Bien sûr que je connais ce complexe, j’ai assisté à son inauguration!» La réponse j’en ai bien peur: absolument personne.

408 Re://T7190 [Syl20/Human/Jules/Xmtl/Tchin/Youssef/Vesuv/Villan/Alad/Chu - Inauguration] post. 18-09-19 18:06:20

J’ai le cœur à la bonne place mais pas les viscères: sèches comme des pierres de caveau. Première (et seconde) constatation au sortir de cette inauguration. Puis, tandis que j’enjambais un trou dans la terre sur le chemin du retour, j’ai entendu de très loin, mais de si loin, ç’aurait pu me parvenir d’outre-tombe mais sans ses mémoires, le signal avertisseur d’un train, un train de Michel-Ange si ce dernier en avait peint, et des larmes me sont montées au yeux en prenant conscience que j’habite dans une ville où l’on entend jamais le signal, même lointain, d’un train.

408 Re://T7190 [Syl20/Human/Jules/Xmtl/Tchin/Youssef/Vesuv/Villan/Alad/Chu - Inauguration] post. 18-09-19 18:09:15

J’admets que c’est assez terrible de se poser la question en direct pendant l’inauguration officielle à savoir qui se souviendra de ce lieu si jamais il périt (par le feu, ou l’eau, cataclysme ou fermeture pour cause de champignons, les actes naturels ne manquent pas.) L’angoisse est un élément invité à la célébration: à 5 heures, personne sinon que les responsables qui vont nous faire des allocutions triomphalistes à la limite du mongolisme. À six heures de brefs curieux, qui s’adonnent à passer par là, et qui reculent même devant les bouchées noires et roses du traiteur. Et à sept heures, une foule hilarée (mais qui ne se doute même pas une fraction de seconde qu’elle est hilarée par sa propre hilarance) à qui nous demanderons le lendemain: où étiez-vous hier? Et qui diront: «Moi? Nulle part, pourquoi?»

408 Re://T7190 [Syl20/Human/Jules/Xmtl/Tchin/Youssef/Vesuv/Villan/Alad/Chu - Inauguration] post. 18-09-19 18:12:14

En pénétrant dans le lieu à l’adresse où c’était écrit sur le carton, un sentiment de déjà-vécu m’a envahi de la tête aux pieds, exactement comme ça m’était arrivé au Musée du Louvre la première fois que j’étais allé à Paris. J’ai senti la sueur me traverser partout entre ma peau et mes vêtements, et j’ai rebroussé chemin, me souvenant du principe voulant que quiconque n’apprenant pas par la sagesse apprendra par la souffrance.

 

SUITE

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J’y allais par obligation. Résultat je me suis emmerdé. Je fais trop souvent les choses par obligation. La plupart du temps, quand j’ai peur de m’ennuyé à une réception officielle, j’en reviens content. Une fois j’ai marché comme à l’abattoir pour allé au lancement du livre d’une amie. J’ai acheté son livre. Après j’ai eu beaucoup de révélation sur les allés retours de mon inconscient. (C’était un livre sur l’interprétation des rêves). Quand je repense à ce lancement j’en garde un double souvenir: le sentiment d’obligation, négatif, et la joie d’avoir acheté un livre qui m’a fait évolué (positif). Mais à l’inauguration d’hier, je me suis emmerdé royalement. J’avais très hâte de rentrer chez moi, mais une fois rendu à la maison, j’étais encore fâché de m’être rendu dans un endroit où il a fallu que je m’emmerde à saluer des gens que je n’avais pas envie de voir, à écouter leurs conversations sans contenu.

408 Re://T7190 [Syl20/Human/Jules/Xmtl/Tchin/Youssef/Vesuv/Villan/Alad/Chu - Inauguration] post. 18-09-19 17:49:39

J’ose penser qu’une inauguration de quoi que ce soit est un élan uniquement cérébral, silence je m’explique: on ne sait pas par avance la texture et, façon de parler, la couleur, bref, l’ambiance, bref, l’aura, de ce que le lieu va devenir. Avoir le temps d’anticiper serait déjà faire un acte de stabilisation référentielle. Mais c’est la rentrée n’oublions pas. Rattrapage à l’extrême, le temps est laborieux à la récupération. Donc t’arrives: rien n’est coloré, ni d’avance ni de retard, plate réalité qui te frappe en pleine sensorialité mais sans références aucune comme je disais. J’emploierais la métaphore de l’impact contre un véhicule stationné sans autre réaction que: oh shit, mauvais(e) début (ou milieu ou fin) de journée. Mais sentiment versus la mécanique, la carrosserie, le véhicule d’autrui magané par inadvertance ou distraction: rien. Tu laisses ton No de cell après un des essuies-glaces, et tu repars au neutre sans avoir abîmé ta conscience d’une acte quelconque, et cette absence d’abîme devient l’abîme infernal en soi, le rien qui s’est engendré dans le tout, incluant l’inavouable: ce que je voulais faire, c'était enculer l'Autre. J’ai ink enculé son char.

408 Re://T7190 [Syl20/Human/Jules/Xmtl/Tchin/Youssef/Vesuv/Villan/Alad/Chu - Inauguration] post. 18-09-19 17:51:41

En me rendant (en taxi: 40 $) à cette inauguration (car je devais en faire un reportage qui a été annulé dans les faits à cause du débat des chefs en anglais), j’ai vu une ambulance jaune stationnée dans le terrain adjacent. Je me suis posé la question (à la blague) si on avait prévu des commotions et des malaises chez les gens invités. Comme on ne pouvait s’y rendre que sur invitation, un tueur aurait pu y faire un choix à l'avance. Pensée banale, sans plus, mais qui s’incruste. Or imaginez-vous que nous sommes au lendemain de cette inauguration: sans réel souvenir de cet événement pour lequel j’étais convoqué, je me pose encore cette même question. Question banale, stupide, sans réponse autre que banale et stupide. Eh bien cette question ne veut plus se déloger de ma tête. Elle  en a même délogé le souvenir des gens à qui j'aurais pu adresser la parole.

408 Re://T7190 [Syl20/Human/Jules/Xmtl/Tchin/Youssef/Vesuv/Villan/Alad/Chu - Inauguration] post. 18-09-19 17:53:38

Quel jour sommes nous à ce matin m’est-il souvenu de me demander au lit encore et sans café. Réponse: nulle. Comme sur un formulaire où c’est indiqué de passer à la question suivante. Alors, importance oblige de savoir quel jour on est aujourd’hui, avant même le dépouillement du corps. Meilleure chose à faire en pareil cas: se poser la question «Qu’est ce que j’ai fait hier, veille d’aujourd’hui?» Rien. À croire que je n’avais rien fait. Mais un être normal se souvient de n’avoir rien fait. Or différence entre la forme et le contenu. À l’évidence une chose avait été faite mais à la question aucune réponse ne venait, malgré le va-et-vient successif de mon hier à celui d’avant et du lendemain. Zéro. C’est Sylvain à qui j’ai téléphoné pour confirmer un r-v qui m’a rappelé qu’on s’était vus la veille, ah oui c’est vrai, mais c’est  à penne si on se soûl venait lui et moi d’une quelconque inauguration dans nos routes et nos vies.

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La 15 était encombrée, tant qu’on n’aurait su dire si c’était le matin ou le soir: l’encombrement était dans les deux sens. Mais à lire vos posts ce matin, je commence à regretter de ne pas être allé à cette inauguration car je suis sûr que j’ai raté une affaire unique au monde. Je ne peux pas me faire une idée d’un seul endroit qu’on inaugure sur la planète Terre à propos duquel on s’évade en tant d’oubli et tant de dissipation le lendemain. My God! Qu’avez vous fumé???

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Tout allait bien. Il y avait même un cadeau, le lave-vaisselle venait d’être livré, et installé malgré que je n’avais pas payé de surplus pour l’installation, sachant le faire par moi-même, mais ça n’aurait pas été avant la fin de semaine et on était mardi. Donc cœur vif et sentiments légers, pour revenir de cette inauguration avec la seule pensée obsédante qui dure encore en ce moment mercredi: qui aurait pu m’éviter ce désastre? Un marasme existentiel que rien, absolument rien, ne peut changer en neutralité. Même la présence de Jules et sur promesse de se faire une bataille navale avec les fistons fut incapable de changer cette inauguration pénible en sentiment positif, je ne parle même pas de joie. C’est comme si j’avais perdu toutes les batailles navales au sec pour le reste de mon avenir. Jules, faisons quelque chose pour changer le beat avant que cette inauguration devienne un fardeau d’avenir, avec nuages lourds même par journées sans buées.

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J’ai assisté à bien des inaugurations au cours de ma (déjà) longue vie, mais une avec aussi peu d’envergure je viens de battre mon propre record. Qui va revenir à ça? Mieux: je poserais la question en termes plus incisifs encore: qui, lorsqu’il sera de nouveau en présence de ce béton gris et ces murales sans adjectifs, va-t-il se dire: «Bien sûr que je connais ce complexe, j’ai assisté à son inauguration!» La réponse j’en ai bien peur: absolument personne.

408 Re://T7190 [Syl20/Human/Jules/Xmtl/Tchin/Youssef/Vesuv/Villan/Alad/Chu - Inauguration] post. 18-09-19 18:06:20

J’ai le cœur à la bonne place mais pas les viscères: sèches comme des pierres de caveau. Première (et seconde) constatation au sortir de cette inauguration. Puis, tandis que j’enjambais un trou dans la terre sur le chemin du retour, j’ai entendu de très loin, mais de si loin, ç’aurait pu me parvenir d’outre-tombe mais sans ses mémoires, le signal avertisseur d’un train, un train de Michel-Ange si ce dernier en avait peint, et des larmes me sont montées au yeux en prenant conscience que j’habite dans une ville où l’on entend jamais le signal, même lointain, d’un train.

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J’admets que c’est assez terrible de se poser la question en direct pendant l’inauguration officielle à savoir qui se souviendra de ce lieu si jamais il périt (par le feu, ou l’eau, cataclysme ou fermeture pour cause de champignons, les actes naturels ne manquent pas.) L’angoisse est un élément invité à la célébration: à 5 heures, personne sinon que les responsables qui vont nous faire des allocutions triomphalistes à la limite du mongolisme. À six heures de brefs curieux, qui s’adonnent à passer par là, et qui reculent même devant les bouchées noires et roses du traiteur. Et à sept heures, une foule hilarée (mais qui ne se doute même pas une fraction de seconde qu’elle est hilarée par sa propre hilarance) à qui nous demanderons le lendemain: où étiez-vous hier? Et qui diront: «Moi? Nulle part, pourquoi?»

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En pénétrant dans le lieu à l’adresse où c’était écrit sur le carton, un sentiment de déjà-vécu m’a envahi de la tête aux pieds, exactement comme ça m’était arrivé au Musée du Louvre la première fois que j’étais allé à Paris. J’ai senti la sueur me traverser partout entre ma peau et mes vêtements, et j’ai rebroussé chemin, me souvenant du principe voulant que quiconque n’apprenant pas par la sagesse apprendra par la souffrance.

 

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