Au Salon de la Mort (édition Montréal au Palais des Congrès), ça réveillait les pulsions. La mort ce n'était plus une affaire de fin de vie. C'était tout simplement une étape, d'accord avec ça. Donc ça continue après et je me suis laissé aller à songer devant un panneau où c'était marqué Go-Mort (en avant la mort) et je me le suis répété mentalement. C’était libérateur. Go Mort, comme quand on dit à quelqu'un: Enwouèye t'es capable. Go-Mort, fais ton œuvre, Gomorrhe, pluie de feu faut pas que ça niaise.
Ouf! J’ai adoré l’expérience.